Twinkle, Twinkle.

tumblr_mte2i5BVhj1qcdx18o1_1280

(I know, I have been away for a few weeks, but hey, life sometimes rocks, sometimes sucks, and I was out of words for a few days. Writer out of words. What an irony…)

Just a little, quick post to express here a feeling I haven’t taste for a while. Pure, golden excitment. Shivers down your spine with anticipation and joy,  a dream coming true filling your mind with colorful images and sentiments even bigger than anything you are in the current mood to feel. Important people about to get a little more real.

You know him, right ? The guy up there. He’s been a bit naughty lately, not always doing the right choices and sometimes missing his own point. Wikileaks has launched an entertaining guerilla against The Fifth Estate, and his interview to the guardian has led to a massive backlash. But it’s him, and he wouldn’t be him if he was skilled on the communication level. His mistakes and messy steps are touching to witness, because they are those of an extremely talented man who’s going to rise up to the highest levels in a short time. And I love him enough to be able to sometimes criticise, sometime even mock a little, but I never, ever get away from this overwhelming feeling I have whenever he’s there, doing his job, turning into all of those extraordinary characters. I love him a strange lot.

Tonight’s big, big rumor, and it is something I have read a while ago, sometimes his words, sometimes those of others, is that he might be playing Hamlet on the West End in late 2014.

Hamlet is the one play I’d die to see, no matter who is cast. But this…This is a whole other thing. This is Benedict. Live. On stage. For real.

I guess that I’m not going to be the loudest at expressing my state of happiness if this happens. I won’t spam my twitter feed-no more than the four ecstatic tweets sent so far. I won’t tell the whole world and bother them with this, I won’t feel forced to create a tumblr and post daily about my insane impatience. I won’t say that I am the happiest and that no one will ever feel the same way or understand and that no one will deserve this more than I do. I don’t care about my position as a fan regarding to the others, I could not care less. I’m not entering a contest to determine who’s the best and who’s not.

But I am insanely, hugely happy. I so am. It just feels like my brain has been disconnected for a little while, and I’m, like, floating in a state of bliss. It is not confirmed yet, I know that. But it looks really close. Close enough to fill me with joy.

There won’t be girly high pitched scream, or chase after him to get a damn show-off style pictures. I’d just consider myself the luckiest girl in the world to sit there and witness a miracle-because quite frankly, that’s what he is as an actor.

I haven’t felt this excited by something for a while, and this man can’t dissapoint me as long as he’s doing his job. So I can safely say that this will blow my mind. And it is worth the struggle, the fights, the moment of despair-and I’ve had my fair share of those lately-and all the little lost battles. It is worth it for this. For moments like that.

I can see myself crossing the channel in order to get to this. I can picture the joy, I can almost smell it from here. And holy fuck, it is beautiful already.

Please, please, please, Ben. Just. Do. It. We all have blind faith in you.

Me first. 

Change

Depuis dix bons jours, j’ai sur le feu un poste de gueularde. De ceux que vous aimez tant parce qu’à chaque fois je pète les scores niveau vues. Donc, vous aimez quand je braille. Et là, des raisons de râler, j’en avais un certain nombre. Disons que tomber dans cette fandom (le nid autours de Benedict) n’était pas l’idée la plus lumineuse pour éviter les coups de sangs quand aux immenses conneries que je peux voir. Mais bon. Entre Benedict et moi s’est installé une histoire d’amour du cinéma pure et dure, et il est l’acteur que je n’avais pas réussi à trouver pour remplacer le vide laissé il y a cinquante ans par notre Gerard bien à nous. Donc, je sers les dents, les fesses, les poings un peu de temps en temps, et je tente de passer au dessus des ramassis de n’importe quoi que je peux voir, en m’estimant immensément heureuse d’être rangée dérrière des Fans de Sherlock et de Benedict bien français et surtout bien carrés, équilibrés et malins. Sherlock France et Cumberbatch France pour ne pas les citer. Et c’est rassurant. Et puis j’ai eu l’occasion de mettre la main sur un petit cercle de supers gens plein de culture et de choses à dire et pour qui le fantasme n’est pas une sorte de pré-requis pour exister dans cette fandom. Les francais-e-s déchirent tout. Non parce qu’en ce moment, les bouffeuses de vie privée, les spéculateurs de relations au bord du suicide, et les égocentriques qui se croient plus gros que la grenouille (Benedict, donc) elle-même, y’en a une sacrée tripotée. Et faut quand même pas déconner.

Enfin tout ça pour dire que j’ai bien deux pages de brouillons, et que je voulais poster absolument, et…Et je me suis fait couper l’herbe sous le pied, rattrappée par des faiseurs de sublime, et je me suis vite rendue compte que je ne voulais pas vraiment polluer ce petit blog avec des posts aussi noirs que rageux, qui n’auraient pas fait avancer le Schmilblick. Et que si vous voulez mon point de vue sur la question, les filles de Cumberbatch France et de Cumberknights ont fait ça trèèèèèèèèèèès bien avant moi. http://bcumberbatch.com/ART_detail.php?idart=46 (faites pas attention au mec qui fait la gueule en header, il mord normalement pas les visiteurs)

Non, en lieu et place de tout cela, je vais plutôt partir sur un de ces posts enflammés, passionnés, et débordants d’émotion, parce qu’au final, c’est qui je suis. Pas une très bonne rageuse, mais une très bonne émotive qui ne veut pas se soigner. Jamais. Sous aucun prétexte. Et pour une fois, l’anglais n’y est pour rien.

Non, cette fois, ce sont trois anglais qui ont fait des miracles. Comme dirait John, hmm, I’m sensing a pattern. Oui, les anglais sont souvent mes faiseurs de mondes et de moments de grâce, sinon presque tout le temps. Il ne faut pas vraiment être surpris que je sois attirée par ce bout d’île en permanence, comme un aimant. Et qui plus est des Londoniens. Si Londres n’est pas le paradis sur terre, alors il est ce qui s’y rapproche le plus.

White Lies est une constante dans ma vie depuis trois ans. Mon histoire avec eux est une drôle de fourberie, il nous a fallut un certain nombre de rendez-vous pour s’avouer des sentiments mutuels très forts. Ils sont arrivés quand Muse était en train de s’affadir, de perdre de sa superbe, et je n’étais pas encore tout à fait armée pour affronter le monde par moi-même, alors, petit à petit, avec un talent fou, avec une force mélodique unique, ils ont pris la place, remplis les blancs, cachés ceux qui n’étaient pas à leur portée, et ont établi une relation solide, et d’immense proximité, dont je connais ma chance. Très peu de gens peuvent dire d’un de leur groupe préféré que les membres te connaissent, et passent jusqu’à une heure dans le froid et sous la pluie un soir de Décembre en Ecosse. Je suis immensément chanceuse, et je le sais.

Et pourtant, comme toutes mes relations avec tous les groupes qui ont été importants à un moment donné, il y a eu des hauts et des bas, parce que nouer une histoire avec un ou plusieurs musiciens est immensément plus compliqué que de le faire avec, disons, un acteur. Un acteur n’est pas, jamais libre, même dans ses choix, même dans sa façon de jouer, il dépend d’une équipe, d’une vision, d’un réalisateur. Dans le cas de la musique, cela ne dépend que d’eux. Ils décident de réunir des mots, d’en faire des phrases, de prendre des notes et des instruments, et si le résultat emporte ton coeur et ton âme, alors en tant que fan, tu peux célébrer ce que j’appelais hier “le miracle sans cesse renouvellé”. Avec l’age, je mesure comme c’est digne de la chimie, du mélange qui réussit à toucher la perfection, quand cela marche, et quand les nouveaux titres réussissent à faire valser mon pauvre être déjà bien mal en point.

J’ai eu le temps de disserter sur la question depuis un long moment, puisque chacun de mes groupes préférés a eu le loisir de me decevoir musicalement à un moment ou un autre. Muse en tête, et pourtant, Muse, j’avais bâti une relation fusionnelle-tu ne vas pas voir le même groupe en concert 37 fois sans raisons- et pourtant, un jour, comme une malédiction (ou une libération ?) le charme a rompu. J’ai écouté le nouvel album, et n’y ai retrouvé aucun frissons, et ceux qui tentaient, faiblards, d’exister, était des mensonges crées par mon esprit pour s’accrocher à tout prix à cette relation qui est en train de mourir.

Alors, forte de tous ces constats, j’avais très peur d’écouter les nouveaux titres de mes petits anglais, de peur que la magie ne soit morte, que le charme n’ait rompu, de peur de ne pas retrouver ce qui avait bâti une des années les plus folles de ma vie. Une des années où j’ai fait le plus grand nombre de bêtises, dont une qui a bien manqué de me perdre, et ils en ont été témoins. Je ne savais pas comment aborder leur retour sans ressentir, forcément, un retour de cette histoire d’amour condamnée à l’avance que je m’efforce de guérir tant bien que mal, parce que je ne peux pas me payer le luxe d’être frappée à mort par une séparation contre laquelle j’ai tout fait. Le plus fort de cette histoire, les quinze jours de paix, les deux semaines à y croire très fort, c’était avec eux sur mon chemin, et j’ai mis sous clefs mes cinq derniers concerts avec eux, simplement parce que je ne suis pas capable de les supporter. J’enferme mes souvenirs dans des boites que je noie loin, au fond du lac qui lui même est au fond de la forêt qui me sert de jardin secret. J’avais très peur, en ayant tout perdu dans cette histoire, de n’avoir aussi perdu mon amour pour ce groupe.

Pendant l’année et demi qui m’a séparé d’eux et de leur musique, j’ai continué, tant bien que mal, a gérer White Lies France de toutes mes forces, a changer le forum, à le faire vivre, à animer la page facebook, à négocier la survie du compte twitter, sans trop savoir si nous étions destinés à nous revoir.

Charles, les copines & moi, Paris, La Cigale, Mars 2011

Charles, les copines & moi, Paris, La Cigale, Mars 2011

Sans trop savoir si Charles et moi aurions encore la chance de partager des conversations à bâtons rompus entre deux grillages…

Jack & moi, Londres, Shepherds Bush Empire, Fevrier 2011

Jack & moi, Londres, Shepherds Bush Empire, Fevrier 2011

Sans trop savoir si j’aurai encore la chance de venir embêter Jack avec sa tendance à me taxer mes marqueurs d’une fois sur l’autre…

Rob & moi, Madrid, Mars 2011

Rob & moi, Madrid, Mars 2011

Sans trop savoir si je pourrai encore envoyer des messages longs comme le bras à Rob pour guider ma bande de touristes préférés dans ma ville…

Tommy, les copines & moi, La Cigale, Paris, Mars 2011

Tommy, les copines & moi, La Cigale, Paris, Mars 2011

Sans trop savoir si je pourrai encore avoir un câlin Bowen, les meilleurs câlins du monde.

Harry, Jack & moi, Paris, La Flèche D'or, Décembre 2010

Harry, Jack & moi, Paris, La Flèche D’or, Décembre 2010

Sans trop savoir si j’entendrai encore Harry ponctuer ses phrases du rire de Dingo et de “Awesome”, et si je verrai encore la bouille de poupée qui ne vieillit pas de mon batteur d’amour.

Harry & moi, Shepherds Bush Empire, Londres, Fevrier 2011

Harry & moi, Shepherds Bush Empire, Londres, Fevrier 2011

Sans trop savoir si je pourrai encore avoir droit à ce sourire-ci, celui de Harry, celui qui part des tréfonds de la planète et ne peuvent être plus radieux et plus sincères.

 

Et même avec trois dates de concerts de prévus, rien n’était moins sûr, rien n’était moins évident, rien n’était écrit dans le marbre. Parce que tout dépend de l’album, tout dépend d’une poignée de titres qui viennent, eux, et eux seuls, te dire si tu as raison ou tort, et si il faut continuer ou laisser les armes sur le bord du chemin, et saluer tes oisillons devenus des étrangers d’une main tremblante et d’un oeil dévasté. La musique, quand elle fonctionne, quand elle croise leurs talents et mes petites cellules avides d’émotions, peut tout emporter sur son passage, et lors de la sortie de Ritual, c’est ce qui était arrivé. Alors je voyais la date approcher, un peu anxieuse, et surtout, immensément terrifiée à l’idée de les perdre encore, parce que continuer à tenir WLF aurait été alors trop compliqué, et je les aime trop pour ne pas le leur devoir.

J’ai attendu Big TV en me jurant ne pas être impatiente et flippée, mais à l’intérieur, j’espérais que le miracle allait arriver. Je croisais tous mes doigts disponibles, et même les pattes de Jack le chien. J’avais besoin plus que tout d’y croire, pour conserver cet équilibre entre musique et cinéma dans lequel je suis si aisée, dans lequel je peux papillonner à droite et à gauche et restaurer mes calmes et mes passions. J’ai beaucoup appris ces dernières années à taire mes batailles, et à taire mes défaites annoncées, pour tellement de raisons. Celle-ci, épaulée en plus de tellement de petites bêtises qui peuvent rendre dingue, s’annonçait épique et…Perdue d’avance.

Je basais mes espoirs sur First Time Caller, dont le pitch me plaisait. Cette histoire de fille abandonnée qui écoute son père à la radio depuis toujours et décide de l’appeller enfin…Charles avait touché une corde sensible. Et pourtant, la version live piquée chez Zane m’a laissée perplexe, pas tellement sûre de ce que j’allais y trouver dans l’album, et a replongé mon esprit dans une abîme de torture. Pourtant Getting Even et There Goes Our Love Again étaient deux titres tellement forts, cela s’annonçait bien…

Ils m’ont laissée mariner dans mon jus pendant trois jours. Trois longs jours où je me suis demandée ce que j’allais faire, et comment continuer si…

C’est un peu comme quelqu’un dans un coma dépassé, quelqu’un que j’ai aimé avec passion, quelqu’un dont je suis restée au chevet tout le temps, et là, d’un coup, il fallait que je me fasse à l’idée de le débrancher, d’anéantir tout espoir de réveil.

J’ai pleuré, et j’ai tiré la prise.

Et le miracle est arrivé, et j’en suis toute retournée, et immensément heureuse et joyeuse et incroyablement…Redevable.

Le miracle s’appelle Change. Il est en streaming sur leur soundcloud https://soundcloud.com/whitelies/change-big-tv

Et c’est une merveille. La preview avait implosé en plein vol dans mon ciel, l’illuminant de roses et de bleus et de blancs et de beiges, mais ce n’est rien comparé à l’émotion contenue dans le titre complet.

Et les paroles. C’est comme ci, de cette histoire si malheureuse et si triste, ils avaient récupéré les cendres pour en faire ce chef d’oeuvre. Harry est absolument extraordinaire, sa merveilleuse voix est posée, et elle tremble au bon moment, et il atteint ses aigus lègèrement raillés que j’aime par dessus tout.

Ils ont réussi. 

Je sais que Big TV va être à la hauteur de mes attentes, parce que si il ne devait subsister que ce titre, je serai alors la plus heureuse. Et je sais que la suite va être parfaite. Change n’est pas porteuse de promesses, elle est porteuse de message.

 

Alors, oui, à l’idée que dans quelques mois, je vais retrouver ces frimousses qui font mes amours Londoniens, mon coeur palpite à nouveau, comme il ne l’a plus fait pour des musiciens depuis longtemps.

 

 

THREE. FUCKING. WEEKS.

Avant…
A) que quelqu’un ne soit forcé de me lourder son coca, glaçons compris, à la gueule, pour s’assurer que ma température corporelle reste en deça de 41 degrès
B) que je ne finisse, au mieux jetée dehors, au pire en cellule de dégrisement, pour cause de sons inhumains ayant perturbé la séance
C) que je ne fasse des enfants avec un personnage fictif, terroriste à ses heures perdues MAIS EN 3D DONC BON
D) que je ne remette en question tous mes principes humains en décidant de rejoindre corps et âmes le clan du super méchant qui défonce la tête à tout le monde
E) que je ne trouve, forcément, le très sexy Chris Pine TOTALEMENT POUILLEUX A COTE
F) que je ne remette totalement en question ma bisexualité, calmée par le costume MORTELLEMENT MOULANT DE SUPER MECHANT DONT HOMME DE MA VIE® EST AFFUBLE

tumblr_mmfgs3wVke1rot0kgo1_500
G) que je ne finisse assassinée par mes voisins pour cause de comportement digne de belieber/directionner
F) que je n’atterisse en HP pour avoir demandé en mariage un écran de cinéma (en permettant a Pine & Quinto d’être demoiselles d’honneur)
G) que je ne sois contrainte lors de la deuxième vision d’être baillonée au gros scotch crime scene
H) que je ne joue à cache cache avec l’ouvreuse d’une séance à l’autre pour réduire les frais collatéraux en passant ma journée dans la salle
I) que je ne hullule comme une chouette à chaque apparition de super méchant
J) que je sois contrainte de renier tout mon passé de non-trekkie en érigeant ce film tout en haut de ma liste des pétages de plombs cinématographiques
K) que j’envoie une lettre d’insulte en navarin à tous les cinémas qui persisteront à passer le film en VF
L) et aux responsables du massacre aussi
M) que mes hormones ne décident de se suicider toutes les unes après les autres en profitant de la voix de super méchant
N) que je ne sois contrainte d’apprendre à mes voisins comment on écrit C-U-M-B-E-R-B-A-T-C-H
O) quitte à leur taper dessus
P) ET NON C’EST PAS “LE MEC QUI JOUE SHERLOCK / LE CONNARD DANS ATONEMENT / LE TRUC QUI RIME AVEC CONCOMBRE” C’EST BENEDICT MEEERRRDDEEE
Q) que de toute évidence, je n’ai à calmer mes nerfs une fois que mes voisins auront épuisé toutes mes ressources et persisteront à croire que le super méchant de star trek est joué par un cucurbitacé anglais
R) que je ne pourrisse l’ouvreuse / la femme de ménage en restant jusqu’au bout du bout du générique pour compter le nombre de fois où dieu® sera cité
S) que Jess ne me trucide parce que le film ne commence pas encore ? Comment ça dans dix minutes ? C’est TROP dix minutes ? Et là ça fait combien ? QUOI ? Que neuf ? Neuf minutes ? Nan mais nan…Et là ? Comment ça TOUJOURS NEUF ? T’es sûre que tu retardes pas ? Comment ça que je me calme ? MAIS JE SUIS CALME ? ET LA ? ET LAAAAA ? ET LAAAAAAAAAAAA ? attends je vais aller gueuler c’est pas possible que ça traine autant.
T ) que je ne parvienne à rentrer dans le guiness book comme étant la chieuse la plus chiante de l’histoire du cinéma
U) que je ne sois contrainte de remettre en question toute mon existence pour décider de devenir une super méchante moi aussi
V) que je me prenne en photo douze millions de fois devant les affiches

genre çastar-trek-into-darkness-poster-benedict-cumberbatch1 ou alors ça f516a980-42a5-4923-8ce1-e50b7fad2b2a_star-trek-into-darkness-poster-full-size
W) que je ne finisse par en faucher une ou deux
X) que j’insulte de tous les noms de canidés, félidés, batraciens, reptiles et oiseaux chaque gonzesse qui s’approchera de près ou de loin de huitième merveille du monde®
Y) que, vaincue par tant d’émotions, je ne finisse par clamser, tombée dans un cumberbatch overload de stade quinze avec ECG plat
Z) bref, que je n’aille enfin voir Star Trek Into Darkness

Même chez Sherlock ils s'y mettent...Tsssssss

Même chez Sherlock ils s’y mettent…Tsssssss

(oh putain)

Je sais, c’est pas un titre de chansons, encore moins de The Killers, chose qui, je viens de constater (genre j’avais pas vu avant) est devenu finalement la règle par défaut de mes titres, a deux petites exceptions près. Je suis dans la mouise dans pas longtemps, va falloir que je trouve une parade. Mettre des vrais titres entre parenthèses me semble interessant.

Oh putain.

Oh putain 1 : J’EN PEUX DEJA PLUS DE TENIR ET J’AI QUATRE VINGT DIX HUIT JOURS DEVANT MOI. Pas la peine de crier ? Si !!! Non mais sérieusement, je me prends à me perdre dans des titres que je sais qui vont sortir (et qui se trouvent, de manière tout à fait coïncidentaire, être parmi mes favoris genre…Favoris)(me forcez pas à citer, y’en a AU MOINS 15 sur 21 à 23 titres) (JACKPOOOOOOOOT) et à me dire “bordel, dans trois mois, c’est ça en vrai“. J’ai l’impression que mon année d’abstinence concertiaire (j’aime les néologismes, cherchez pas) rend le prochain encore plus méga super giga symbolique. Bon et puis quand on pense que la pensée conscience de “j’aimerais bien voir The Killers en concert” a pour la première fois fait son cheminement chez moi en 2004, me dit que putain, il est temps, hein. Enfin n’empêche. BORDEL TEMPS PASSE PLUS VITE QUE CA SANS DECONNER TU CHIES DANS LA COLLE A RALENTIR COMME UNE VIEILLE CHEVRE POURRITE LA. J’en deviens grossière. La situation est grave (…Mais pas desespérée).

Oh putain 2: je suis douée pour me mettre dans des situations impossibles, hein ? Mais vraiment, genre. C’est un don, un talent, un truc qui tient de la prédestination. Je vais pas faire un dessin, hein, mais on va dire que, euh…Oh, et puis rien. J’assume mes conneries. Je sais pas quoi faire de Muse, là, voilà. La nuit dernière, j’ai bien entendu Madness à la télé et je me suis même pas retournée de mon demi sommeil pour regarder parce que mon esprit dingue s’était pris à se perdre à Charles De Gaulles, genre le 21 Février. Fouettez moi, je le mérite. Qu’est-ce que je suis supposée faire, hmm ? J’ai pas envie d’aller les voir, et en plus, White Lies amorce son retour. Ca va être trop le bordel. Alors voilà, je suis les bras ballants, à jouer mon rôle de grande soeur, mais je n’ai plus envie. Je suis sûre que ça va revenir, mais…Et si ça ne revient pas ? Et si c’est bien fini ? Et si Muse a vraiment perdu ce qui faisait de cette relation quelque chose de magique ? Et si The Killers leur avait vraiment fait la tête au carré pour de bon ? Parce que bon, je sais pas si quelqu’un remarque, mais 4eme album, Wembley, c’est juste un peu (mais alors un tout petit peu) le même mode opératoire que Muse. Si je dis que le déclic s’est fait le 31 Octobre, y’a que moi qui y voit des signes douteux ou bien…?

Allez-y les anglais. Prove me wrong.

 

 

 

Eh merde, tiens.

Losing Touch

J’avais plein de choses à dire, et puis finalement, non. Alors pour la peine je vous mets ma chanson de la journée. Comme ça.

(Brandon, t’es flou)

Peut vouloir exprimer des choses que je ne veux pas dire. Ou pas.