Port d’attache.

Monstrueuse, cette V.O.
Aussi élogieux que “monstrueux” puisse être. Ma troisième vision de Star Trek Into Darkness a peut être été la meilleure. Et elle ne peut pas être la dernière, ça me rendrait trop triste. Le DVD ne sortira jamais assez tôt pour moi (et on parle bien d’une sortie en septembre…!)

D’un pincement au cœur la première fois, j’ai cette fois succombé au déluge lorsque Kirk se sacrifie, et ait trouvé Chris comme Zach vraiment excellents. Quand a Benedict…Il en impose, en ordure terroriste. Sa voix est plus posée et plus grave que jamais, il martèle les mots, sa diction frôle le surréaliste. Ce mec est dingue. Tant de talent dans le même type, c’est quasi injuste.

Cette V.O. était parfaite, j’étais scotchée a mon siège plus que jamais, et j’ai tout vécu puissance un million.

Et puis j’ai réalisé quelque chose que je n’avais pas eu le temps de matérialiser jusqu’ici. Ou de comprendre,

Sans Benedict, ce n’est pas un monde dont je me serais privée mais une galaxie entière. C’est mon connecteur vers des univers tous plus infinis et riches et puissants les uns que les autres. Le lien.

Dans l’année qui vient, je vais en découvrir, des choses, grâce a lui. Je vais en connaître, des choses. C’est presque une mise a jour de ma culture générale et personnelle qui intervient sous forme humaine. La confiance que j’ai en lui est aveugle, entière et totale. Il me prend par la main et se fait plaisir pour m’emmener loin de mes sentiers battus.

Après des années de doutes, je peux aujourd’hui dire sans ciller que mon mentor, mon maître a penser, il est la. Il a été a portée tout ce temps, et je ne mesure ma chance que maintenant. Mais je la mesure. Oh comme je la mesure.