I feel it in my bones [2013 & moi]

Putain, 11 janvier, il était temps que je poste…! Bon, oh, eh, ça va, la foule en délire, on se calme. J’ai pas mal écrit la suite de la Fille Du Premier Rang entre temps, donc je n’ai pas bloggé mais qu’est ce que j’ai été bavarde quand même.

 

Aujourd’hui est une drôle de journée. Drôle dans le bon sens. Drôle parce que j’atteint ma zone de confort vis à vis de [ insérer nom d’un groupe venu de Vegas ici] : je maitrise enfin ce qui va arriver dans une poignée de jours. J’avoue que ça a été bancal à mort pendant quelques jours, mais là, à y est, budget atteint, marge d’erreur réalisée, reservations en bonnes formes. Ca va arriver, je ne vais pas y couper. Conséquemment (spéciale dédicace à cette grosse pute de Perrine qui ferait mieux de revoir son français plutôt que de cracher à la gueule de tout le monde) (oui, en 2013, je cesse de fermer ma gueule quand on me les brise menu menu) tout l’écoute de la discographie des sauvages n’a plus du tout le même sens aujourd’hui.

Magique. 

 

Je ne vais cependant pas inonder ce blog de posts surexcités, après tout, je suis trop vieille pour ça…Ou pas ? Disons que je tiens mon excitation à un niveau honorable, mais que tout va se concentrer sur le jour J, qui arrive, lentement mais sûrement…

 

Sinon, autre motif journée drôle : aller expliquer a des amies que celle que j’étais en 2012 n’est pas moi, que la carpette finie qui se pliait à tout et à tout le monde n’est pas moi, et tenter de voir si la vraie moi, la moi hors année de merde, va coller avec elles et avec l’association liée. Rien n’est moins sûre. Je ne suis plus formattable, et surtout, je suis en pleine possession de mes moyens et de qui je suis. Ce que je vaux. Ce que je sais, aussi, et ce que je suis capable de faire. Ca risque d’être bizarre, mais si elles ne savent pas me prendre telle que je suis, alors les illusions ne pourront pas être preservées. Ca va être bizarre, je vous le dit.

 

Va falloir que je vous parle de Muse aussi. Pas en bien…Hélas. Mais je suis de trop bonne humeur en ce début d’année pour allerde ce côté ci.

 

2013 tient toutes ses promesses, pour le moment, et je sens bien que cela ne fait que commencer.